
Aider le magazine SANS LAISSE à vivre
POUR QUE LE TRÈS INTÉRESSANT MAGAZINE SANS LAISSE PUISSE VIVRE
Le magazine SANS LAISSE existe depuis bien longtemps, c'est une référence incontournable dans le monde canin. Si vous ne connaissez pas ce magazine, allez chez votre libraire pour lire ou commander le prochain numéro, vous y découvrirez vraiment beaucoup de conseils et d'actualité. Si cette information dans nos actualités peut aider de quelque manière que ce soit, la revue SANS LAISSE à surmonter ses difficultés, POLYTRANS en sera très heureux. "courrier issue du site SANS LAISSE": Je serai franc. Fin novembre, j'étais prêt à arrêter Sans Laisse. Unanimement, les proches de notre revue, informés de mes difficultés financières, m'ont dit qu'il fallait continuer. Qu'il était impossible d'arrêter comme ça une aventure de trente ans, que même si Internet a révolutionné la communication, il faut absolument garder une « trace papier ».
LE MAGAZINE SANS LAISSE FACE À DES PROBLÈMES DE DISTRIBUTION
Depuis deux ans notre magazine est confronté, comme ses confrères, à des problèmes de diffusion en kiosque, dus principalement au monopole des NMPP sur la distribution de la presse en France (les revues spécialisées comme la nôtre sont distribuées par d'autres messageries, les MLP) et, bien sûr, la concurrence d'Internet. Quand vous achetez Télé 7 jours, la lecture du code barre au passage en caisse réapprovisionne aussitôt le titre pour le lendemain. Le code barre de Sans Laisse, lui, est carrément zappé. Il y a tant de points de vente en France que nous ne pouvons mettre que 3 à 5 exemplaires du magazine dans les Maisons de la Presse et les principaux marchands de journaux. Ils sont, la plupart du temps, vendus dans les premiers jours de parution. Mais ensuite notre titre est absent pendant près de deux mois. Et les stocks demeurent dans les centres de distribution. Ne nous plaignons pas, la diminution des ventes de la presse en kiosque est en moyenne de 15%, alors que nous n'avons une baisse que de 9%. Même la fidélité de nos abonnés qui nous a permis de tenir la tête hors de l'eau jusqu'à présent a diminué. Vous n'êtes plus que 4000. C'est encore beaucoup mais c'est devenu insuffisant. Alors que vous êtes 5 fois, peut être 10 fois plus nombreux à lire Sans Laisse. Parce que vous le prêtez J'ai fait le calcul : 56% des juges d'utilisation sont abonnés, et le chiffre tombe à 30% pour les juges d'Agility. Alors que la plupart lisent notre revue. Comme le prouvent leurs réactions pour me féliciter - ou m'engueuler - de tel ou tel article. Les questions étaient donc posées :
- Est-il possible de continuer ainsi ? Non car Sans Laisse qui ne réalisait pratiquement pas de bénéfices depuis toujours, se retrouve en perte depuis plus d'un an, avec les problèmes de trésorerie qui en découlent.
- Est-il possible de continuer ? Oui à condition que nos abonnés « jouent le jeu » et que, pour ma part, à quelques années de la retraite, je trouve l'énergie nécessaire pour redresser la situation.
Je veux m'investir encore J'ai reçu un grand nombre de messages de soutien de votre part et j'ai décidé, pour vous, de m'investir encore. Nous étudions les possibilités d'associer Sans Laisse et l'Internet et nous allons réaliser de violentes et drastiques baisses de charges pour TENIR mais j'ai besoin du soutien de tous ceux qui veulent que vive Sans Laisse. En s'abonnant et en faisant s'abonner leurs amis cynophiles.
Un grand compétiteur, informé de mes problèmes, m'a dit récemment : « Je ferai 5 nouveaux abonnés dans mon club avant la fin de l'année ».
Vous ne seriez qu'une centaine à montrer cette détermination, notre, votre revue serait tirée d'affaire. A la demande de fidèles prêts à s'investir davantage, nous proposons, au moins pour 2008, des abonnements de soutien, au double du prix de l'abonnement normal, soit 104 euros pour un an et 198 euros pour deux ans.
Conscients de l'effort que je vous demande, je vous prie de croire que les sacrifices que nous nous imposons seront à la hauteur de vos espérances.
Afin que Sans Laisse demeure tel que vous l'aimez. Et que nous continuions ENSEMBLE.