Le livre "Dogue Argentin" Collection Pet Book est un très beau livre sur le loyal Dogue Argentin.
Le Dogue argentin est courageux, équilibré et intelligent, très affectueux envers son maître et sa famille.
C'est à croire que le D'Antonio Mores Martinet, anatomiste plus que généticien, s'est attelé, dès le berceau, à la rédaction de son œuvre sur le Dog o!
Alors qu'il n'est âgé que de 21 ans, il a déjà rédigé le standard de la race.
Sans remettre en cause son formidable travail, on peut supposer qu'il a largement été épaulé, dans cette tâche, par sa famille,animée, de génération en génération, par sa passion pour ces chiens.
Un chien pour la chasse Le dogo est une race fabriquée de toutes pièces.
On doit sa création au D'Antonio Nores Martinez, passionné de chasse et de combat.
En 1925, ce médecin, est issu d'une famille de notables installée dans la région de Cordoba, en Argentine.
Il rêve d'un chien qui serait performant pour la Gaza major, la chasse au gros gibier, ce qui est loin d'être le cas des chiens utilisés à l'époque dans ce domaine.
Le cahier des charges est très précis.
Il faut un chien :
- courageux
- peu aboyeur pour ne pas faire fuir le gibier
- rapide
- s'adaptant facilement aux différents terrains
- déterminé et tenace face à ses proies
- doté d'un excellent flair, une base indispensable pour un chasseur digne de ce nom.
La couleur blanche n'est pas non plus un hasard : elle permet au chien d'être facilement repéré et de ne pas être confondu avec le gibier.
Si la chasse est bien un but primordial pour Antonio Nores Martinez, ce dernier ne semble pas avoir exclu non plus d'autres tâches et d'autres aptitudes.
Parmi celles-ci, la garde et la compagnie.
Le créateur de la race est épaulé dans son travail par l'un de ses quatre frères, car chez eux, l'amour du chien, c'est une histoire de famille.
Comment pourrait-il en être autrement.
En effet, il rédige le premier standard de la race alors qu'il n'est âgé que de 21 ans, en 1928 !
À la mort d'Antonio Nores Martinez, lors d'une partie de chasse, en 1956, c'est son frère qui reprendra le flambeau.
On sait en tout cas, grâce à ses écrits, qu'il a pris pour base de sa nouvelle race le chien de lutte de Cordoba, qui a pour ancêtre des molosses européens.
Génétiquement mal défini, ce chien était apprécié, entre autres, pour son ardeur au combat.
Le D` Martinet va le croiser peu à peu avec d'autres races.
Le livre "Dogue Argentin" Collection Pet Book à découvrir.